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Risques psychosociaux : comprendre et prévenir avant que la CNESST n’intervienne

  • Writer: Sébastien Robitaille
    Sébastien Robitaille
  • Oct 14
  • 2 min read

C’est quoi un risque psychosocial selon la Loi 27 ?

Avec la Loi 27, la santé psychologique devient une responsabilité légale de l’employeur.Les risques psychosociaux (RPS) désignent les situations de travail susceptibles de nuire à la santé mentale, à la motivation ou à la cohésion d’une équipe.

La CNESST les reconnaît désormais au même titre que les risques physiques ou ergonomiques.Ces risques doivent donc être identifiés, évalués et intégrés dans le programme de prévention de chaque entreprise.


Exemples concrets en entreprise

Les RPS peuvent se manifester dans tous les milieux de travail, même les plus bienveillants. Voici quelques exemples fréquents :

  • Surcharge de travail ou manque de ressources ;

  • Absence de reconnaissance ou de rétroaction constructive ;

  • Conflits interpersonnels ou tensions d’équipe ;

  • Isolement lié au télétravail ;

  • Flou organisationnel ou changements mal communiqués.


Ces facteurs, s’ils s’accumulent, peuvent mener à une détresse psychologique, à une hausse de l’absentéisme ou à un roulement du personnel.


Employée subissant une surcharge de travail, exemple typique de risque psychosocial reconnu par la Loi 27.
👉 Pour comprendre comment la Loi 27 encadre la prévention, consultez notre article précédent : Loi 27 : ce que les employeurs québécois doivent savoir avant octobre 2025.

Les conséquences d’un manque de prévention

Ignorer les RPS n’est plus une option.Outre les risques humains, le manque de prévention peut mener à :

  • Une intervention de la CNESST pour non-conformité ;

  • Des coûts accrus liés à l’absentéisme et au roulement ;

  • Une baisse de productivité et d’engagement ;

  • Une détérioration de la marque employeur.


Les organisations qui agissent tôt transforment ces obligations en opportunités de mobilisation.


Mesures préventives efficaces

Prévenir les risques psychosociaux, c’est avant tout instaurer un climat de confiance, d’écoute et de reconnaissance.Voici quelques leviers concrets :

  • Mettre en place des rencontres d’équipe régulières centrées sur le bien-être ;

  • Former les gestionnaires à la communication empathique ;

  • Offrir des activités santé et missions bien-être qui favorisent la cohésion ;

  • Intégrer un suivi d’engagement pour détecter les signaux faibles ;

  • Encourager un équilibre sain entre travail et vie personnelle.


Gestionnaire et employé en discussion ouverte sur la santé mentale au travail.

Propulsion : gamifier la prévention des risques psychosociaux

Avec Propulsion, la prévention des RPS devient un moteur d’engagement collectif.

Notre plateforme propose :

  • Des défis santé hebdomadaires qui favorisent la collaboration et le mouvement ;

  • Des quiz santé mentale pour évaluer la perception du bien-être dans l’équipe ;

  • Des tableaux de bord pour mesurer la participation et démontrer les efforts de prévention à la CNESST.


Résultat : la conformité devient une expérience motivante, mesurable et mobilisatrice.


Équipe d’employés prenant part à une mission mieux-être Propulsion pour prévenir les risques psychosociaux.

En conclusion

Les risques psychosociaux représentent un défi majeur, mais aussi une formidable opportunité d’évolution culturelle.En les abordant de façon proactive, les entreprises québécoises peuvent améliorer le climat de travail, prévenir les incidents et renforcer la santé mentale collective.


👉 Et si la prévention devenait un levier de performance ?Découvrez comment Propulsion transforme la Loi 27 en moteur d’engagement durable.

 
 
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